En reprenant cette citation de Talleyrand, l'imprécateur nous explique ce qui se passe en France et à qui profite la révolution de 1968.
Lisons cette analyse, lentement, pour en comprendre toute la portée.
Nous sommes manipulés et nos dirigeants ont été formatés pour nous manipuler. Nous nous en doutons mais nous ignorons presque tous comment. Pourtant il suffirait d’ouvrir ses yeux et ses oreilles, mais des blocages automatiques ont été mis en place dans nos cerveaux pour nous en empêcher. Exemple, en France le mot « libéralisme » provoque aussitôt un blocage négatif : ça ne peut être que mauvais. Par contre le mot « État » provoque tout de suite une appréciation positive, et ce de l’extrême-gauche à l’extrême droite. Les deux propositions sont fausses, mais il n’est même pas possible d’en discuter, tant elles sont bien imprimées dans nos subconscients.
Cela a commencé dans les années 1950-60 quand l’internationale socialiste soviétique et ses relais nationaux, n’ayant pas réussi, comme ils l’espéraient en 1945, à conquérir toute l’Europe occidentale, a mis en œuvre un plan imaginé par les experts du Politburo et du KGB. Un plan de subversion idéologique par le socialisme, programmé pour durer au minimum une vingtaine d’années, le temps de travailler sur une génération. Ce plan ayant abouti, nous en subissons aujourd’hui en France les effets hautement négatifs depuis les années 80, mais comme il commence à s’essouffler, un nouveau plan copié-collé du précédent est en marche avec l’islam, et le remplacement de peuple qui l’accompagne sur le modèle brechtien : quand le peuple devient moins docile parce qu’il commence à comprendre, la solution est de changer le peuple. Les idéologues islamistes y ont ajouté un volet qu’ils ne cachent pas mais que nos dirigeants déjà préformatés ne voient pas : changer aussi toute l’élite politique, médiatique, culturelle et intellectuelle, ce que fait systématiquement l’État islamique quand il conquiert un nouveau territoire. C’est évident, mais nos « élites » ne peuvent pas le voir parce que leurs cerveaux sont déjà formatés pour ne pas le voir.
L’objectif final du plan est la prise du pouvoir. Pour cela il faut changer la perception qu’ont les Français de la réalité pour que, quelle que soit la profusion de l’information disponible, plus personne, exceptés quelques réfractaires à neutraliser, ne soit en mesure de tenir un raisonnement correct pour être capable de se défendre, de défendre ses valeurs, de défendre sa famille, ses convictions intimes, ses biens, ses intérêts et finalement son pays. Ce plan que l’on pourrait appeler « un lavage de cerveau généralisé à tout un pays » comporte quatre phases.
1ère phase : « démoraliser » les Français.
Cette phase nécessite de 15 à 20 ans parce qu’elle consiste à apprendre à toute une génération d’étudiants à se soumettre à l’idéologie que l’on veut imposer. « Démoraliser » doit donc être pris ici dans le sens d’effacer de leur cervelle la morale commune reçue de leurs parents et familles, qui résulte de traditions gréco-latines et judéo-chrétiennes ainsi que d’une culture nationale acquise au fil des siècles, pour la remplacer par une nouvelle morale qui fut dans les années 60-80 celle du socialisme. Pour cela il faut avoir, comme le conseillait le théoricien communiste Gramsci, la maîtrise des institutions dites « intellectuelles » : éducation nationale, universités, culture, écoles de journalisme, édition, etc. Et la maitrise du vocabulaire en interdisant certains mots comme « race », Arabe », « libéralisme » et en obligeant à l’usage abusif d’autres comme « antiracisme », « islamophobie » ou « valeurs », c’est la « novlangue » orwellienne.
La réussite est incontestable, aujourd’hui encore malgré les fissures qui apparaissent dans le système puisque même les « profs » commencent à douter du socialisme. Cependant il reste toujours environ 80 % des enseignants, des journalistes, des universitaires, des artistes, des maisons d’édition qui sont ouvertement socialistes. Si l’on regarde l’histoire récente, on constate que c’est la génération de 68, formée au marxisme à partir de 1950 qui a conquis le pouvoir en 1981. On constate aussi que la France a été dynamique et prospère de 1950 à 1980, tant que des libéraux comme Antoine Pinay ont géré l’économie malgré 25 % de communistes et un syndicalisme puissant – ce furent « les trente glorieuses » – et a commencé à décliner socialement et surtout économiquement à partir de 1981. Et il est incontestable aussi que ce sont les mêmes « intellectuels » qui sont en cours d’islamisation accélérée, comme Houellebecq le constate dans son roman Soumission.
La morale socialiste est morte, les socialistes ne sont plus « le peuple de gauche » mais la grande bourgeoisie de gauche, dans l’ensemble riches, voire très riches et aux commandes de la plupart des institutions du pays. Il suffit de compter le nombre de socialistes millionnaires en euros dans l’effectif gouvernemental et à l’Assemblée : les Hollande, Royal, Touraine, Le Guen, Bergé, Pigasse, etc. Ils misent maintenant sur l’islam, avec l’espoir qu’un peuple islamisé étant forcément soumis, il est donc plus facilement malléable et exploitable. Et comme le peuple rechigne, ils envisagent froidement de le noyer dans les vagues de l’immigration majoritairement musulmane qu’ils espèrent rendre socialiste via l’Education nationale.
Comment le pouvoir socialiste laisse prospérer l’insécurité en voulant démontrer que si l’islam était officialisé dans les cités et en France, une forme de discipline islamo-républicaine serait possible, et s’il faut aller jusqu’à l’éclatement d’une guerre civile entre communautés, il laissera faire si cela peut assurer sa survie.
Le moyen utilisé pour parvenir à ce résultat a consisté à marxiser l’histoire de France et l’enseignement de l’économie, même à HEC, à effacer progressivement tout ce qui pouvait valoriser l’identité nationale et le libéralisme, à faire comprendre aux étudiants que sans soumission à l’idéologie socialiste ils n’ont aucun espoir de carrière brillante, voire de carrière tout court.
Le plus étonnant est qu’il ne sert à rien de leur démontrer par les chiffres, les analyses et l’histoire que « le socialisme ça ne marche pas« , comme l’a dit Fidel Castro (The Atlantic, 15 juillet 2010), que le socialisme appliqué à l’économie mène inexorablement à la dictature et à la misère du peuple. Leur prouver qu’aucun pays socialiste n’a jamais réussi à aboutir à une autre issue que celle-là ne les convainc pas, malgré les exemples de l’URSS, la Chine, les pays d’Europe de l’Est communiste, le Vietnam, le Laos, le Cambodge, Cuba, les pays socialistes d’Amérique centrale ou du Sud… Impossible aussi de leur faire admettre que les pays qui ont fini par retrouver la prospérité et une part de liberté les ont obtenues en intégrant une forte dose de libéralisme, que ce soit la Suède, la Chine, l’Allemagne de l’Est absorbée par l’Ouest, la Pologne, le Vietnam, la Russie, aujourd’hui Cuba… Parce que le libéralisme nécessite la liberté, notamment celle d’entreprendre, alors que le socialisme déclasse la liberté loin derrière l’égalité qu’il transforme en égalitarisme, lequel est impossible à atteindre en pratique parce que l’égalité absolue est contre nature. Rien n’y fait, impossible de décrotter leurs cerveaux formatés et remplis des blocages automatiques qu’y ont incrusté l’Education nationale, l’Université et les Grandes écoles, notamment l’ENA, Sciences Po et quelques autres, les écoles « techniques » comme les Ponts et Chaussées, voire Polytechnique étant en partie à l’abri. Sans oublier la presse comme Libération et l’Im-Monde (comme l’appelait de Gaulle), le Nouvel Observateur, les Inrocks, Mediapart et autres vecteurs de l’idéologie marxiste que lisent les étudiants.
Pourtant les moyens de se désintoxiquer existent et, paradoxalement, l’un des plus efficaces est d’appliquer au socialisme la méthode d’analyse marxiste de la société et de l’économie. On constate alors qu’il y a d’énormes failles qui expliquent ses échecs et la conclusion très juste qu’en tire Fidel Castro : le socialisme ne fonctionne pas parce qu’il ne peut pas fonctionner sans une dictature quasi absolue et de toute façon à un niveau de développement économique extrêmement bas. Comme celui que tout le monde eut l’occasion de constater après l’effondrement du mur de Berlin et l’échec de la Révolution culturelle chinoise. Mais on se garde bien d’enseigner aux étudiants de manière efficace et pratique l’analyse marxiste dont ils n’ont qu’une vague idée théorique, même les trotskistes, pourtant politiquement et culturellement plus évolués que les socialistes et, surtout, les communistes. Ne les ont-ils pas noyautés, c’est « l’entrisme », depuis des années pour parvenir ainsi au pouvoir malgré leur petit nombre ?
En France on en est au point où « libéralisme » est connoté diabolique, même à l’extrême-droite, et « État » comme la solution à tout, alors que toute l’histoire sociale et économique montre que les pays prospère et heureux comme le Canada, la Suisse, le Luxembourg, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, maintenant l’Angleterre et la Suède, à un moindre degré la Russie toujours politiquement imprégnée de marxisme, sont ceux où l’État en fait le moins possible hors ses fonctions régaliennes, où les impôts sont relativement peu élevés, et où la liberté de parler et d’entreprendre est la plus grande. Cela n’empêche pas des services publics moins coûteux et plus efficaces qu’en France et une médecine souvent de meilleure qualité elle aussi, comme c’est notamment le cas en Australie.
Le pire est que les écoles de journalisme en France formatent leurs étudiants pour en faire des agents de la propagande socialiste entrainés à manipuler l’opinion et que le socialisme étant en perte de vitesse, elles sont passées à la propagande de l’islam.
La suite dans le prochain article, ce n’était là que la première des quatre phases !
L’Imprécateur
http://france.libre1.overblog.com/2015/03/la-rafle-des-catholiques-en-france.html
Lisons cette analyse, lentement, pour en comprendre toute la portée.
Nous sommes manipulés et nos dirigeants ont été formatés pour nous manipuler. Nous nous en doutons mais nous ignorons presque tous comment. Pourtant il suffirait d’ouvrir ses yeux et ses oreilles, mais des blocages automatiques ont été mis en place dans nos cerveaux pour nous en empêcher. Exemple, en France le mot « libéralisme » provoque aussitôt un blocage négatif : ça ne peut être que mauvais. Par contre le mot « État » provoque tout de suite une appréciation positive, et ce de l’extrême-gauche à l’extrême droite. Les deux propositions sont fausses, mais il n’est même pas possible d’en discuter, tant elles sont bien imprimées dans nos subconscients.
Cela a commencé dans les années 1950-60 quand l’internationale socialiste soviétique et ses relais nationaux, n’ayant pas réussi, comme ils l’espéraient en 1945, à conquérir toute l’Europe occidentale, a mis en œuvre un plan imaginé par les experts du Politburo et du KGB. Un plan de subversion idéologique par le socialisme, programmé pour durer au minimum une vingtaine d’années, le temps de travailler sur une génération. Ce plan ayant abouti, nous en subissons aujourd’hui en France les effets hautement négatifs depuis les années 80, mais comme il commence à s’essouffler, un nouveau plan copié-collé du précédent est en marche avec l’islam, et le remplacement de peuple qui l’accompagne sur le modèle brechtien : quand le peuple devient moins docile parce qu’il commence à comprendre, la solution est de changer le peuple. Les idéologues islamistes y ont ajouté un volet qu’ils ne cachent pas mais que nos dirigeants déjà préformatés ne voient pas : changer aussi toute l’élite politique, médiatique, culturelle et intellectuelle, ce que fait systématiquement l’État islamique quand il conquiert un nouveau territoire. C’est évident, mais nos « élites » ne peuvent pas le voir parce que leurs cerveaux sont déjà formatés pour ne pas le voir.
L’objectif final du plan est la prise du pouvoir. Pour cela il faut changer la perception qu’ont les Français de la réalité pour que, quelle que soit la profusion de l’information disponible, plus personne, exceptés quelques réfractaires à neutraliser, ne soit en mesure de tenir un raisonnement correct pour être capable de se défendre, de défendre ses valeurs, de défendre sa famille, ses convictions intimes, ses biens, ses intérêts et finalement son pays. Ce plan que l’on pourrait appeler « un lavage de cerveau généralisé à tout un pays » comporte quatre phases.
1ère phase : « démoraliser » les Français.
Cette phase nécessite de 15 à 20 ans parce qu’elle consiste à apprendre à toute une génération d’étudiants à se soumettre à l’idéologie que l’on veut imposer. « Démoraliser » doit donc être pris ici dans le sens d’effacer de leur cervelle la morale commune reçue de leurs parents et familles, qui résulte de traditions gréco-latines et judéo-chrétiennes ainsi que d’une culture nationale acquise au fil des siècles, pour la remplacer par une nouvelle morale qui fut dans les années 60-80 celle du socialisme. Pour cela il faut avoir, comme le conseillait le théoricien communiste Gramsci, la maîtrise des institutions dites « intellectuelles » : éducation nationale, universités, culture, écoles de journalisme, édition, etc. Et la maitrise du vocabulaire en interdisant certains mots comme « race », Arabe », « libéralisme » et en obligeant à l’usage abusif d’autres comme « antiracisme », « islamophobie » ou « valeurs », c’est la « novlangue » orwellienne.
La réussite est incontestable, aujourd’hui encore malgré les fissures qui apparaissent dans le système puisque même les « profs » commencent à douter du socialisme. Cependant il reste toujours environ 80 % des enseignants, des journalistes, des universitaires, des artistes, des maisons d’édition qui sont ouvertement socialistes. Si l’on regarde l’histoire récente, on constate que c’est la génération de 68, formée au marxisme à partir de 1950 qui a conquis le pouvoir en 1981. On constate aussi que la France a été dynamique et prospère de 1950 à 1980, tant que des libéraux comme Antoine Pinay ont géré l’économie malgré 25 % de communistes et un syndicalisme puissant – ce furent « les trente glorieuses » – et a commencé à décliner socialement et surtout économiquement à partir de 1981. Et il est incontestable aussi que ce sont les mêmes « intellectuels » qui sont en cours d’islamisation accélérée, comme Houellebecq le constate dans son roman Soumission.
La morale socialiste est morte, les socialistes ne sont plus « le peuple de gauche » mais la grande bourgeoisie de gauche, dans l’ensemble riches, voire très riches et aux commandes de la plupart des institutions du pays. Il suffit de compter le nombre de socialistes millionnaires en euros dans l’effectif gouvernemental et à l’Assemblée : les Hollande, Royal, Touraine, Le Guen, Bergé, Pigasse, etc. Ils misent maintenant sur l’islam, avec l’espoir qu’un peuple islamisé étant forcément soumis, il est donc plus facilement malléable et exploitable. Et comme le peuple rechigne, ils envisagent froidement de le noyer dans les vagues de l’immigration majoritairement musulmane qu’ils espèrent rendre socialiste via l’Education nationale.
Comment le pouvoir socialiste laisse prospérer l’insécurité en voulant démontrer que si l’islam était officialisé dans les cités et en France, une forme de discipline islamo-républicaine serait possible, et s’il faut aller jusqu’à l’éclatement d’une guerre civile entre communautés, il laissera faire si cela peut assurer sa survie.
Le moyen utilisé pour parvenir à ce résultat a consisté à marxiser l’histoire de France et l’enseignement de l’économie, même à HEC, à effacer progressivement tout ce qui pouvait valoriser l’identité nationale et le libéralisme, à faire comprendre aux étudiants que sans soumission à l’idéologie socialiste ils n’ont aucun espoir de carrière brillante, voire de carrière tout court.
Le plus étonnant est qu’il ne sert à rien de leur démontrer par les chiffres, les analyses et l’histoire que « le socialisme ça ne marche pas« , comme l’a dit Fidel Castro (The Atlantic, 15 juillet 2010), que le socialisme appliqué à l’économie mène inexorablement à la dictature et à la misère du peuple. Leur prouver qu’aucun pays socialiste n’a jamais réussi à aboutir à une autre issue que celle-là ne les convainc pas, malgré les exemples de l’URSS, la Chine, les pays d’Europe de l’Est communiste, le Vietnam, le Laos, le Cambodge, Cuba, les pays socialistes d’Amérique centrale ou du Sud… Impossible aussi de leur faire admettre que les pays qui ont fini par retrouver la prospérité et une part de liberté les ont obtenues en intégrant une forte dose de libéralisme, que ce soit la Suède, la Chine, l’Allemagne de l’Est absorbée par l’Ouest, la Pologne, le Vietnam, la Russie, aujourd’hui Cuba… Parce que le libéralisme nécessite la liberté, notamment celle d’entreprendre, alors que le socialisme déclasse la liberté loin derrière l’égalité qu’il transforme en égalitarisme, lequel est impossible à atteindre en pratique parce que l’égalité absolue est contre nature. Rien n’y fait, impossible de décrotter leurs cerveaux formatés et remplis des blocages automatiques qu’y ont incrusté l’Education nationale, l’Université et les Grandes écoles, notamment l’ENA, Sciences Po et quelques autres, les écoles « techniques » comme les Ponts et Chaussées, voire Polytechnique étant en partie à l’abri. Sans oublier la presse comme Libération et l’Im-Monde (comme l’appelait de Gaulle), le Nouvel Observateur, les Inrocks, Mediapart et autres vecteurs de l’idéologie marxiste que lisent les étudiants.
Pourtant les moyens de se désintoxiquer existent et, paradoxalement, l’un des plus efficaces est d’appliquer au socialisme la méthode d’analyse marxiste de la société et de l’économie. On constate alors qu’il y a d’énormes failles qui expliquent ses échecs et la conclusion très juste qu’en tire Fidel Castro : le socialisme ne fonctionne pas parce qu’il ne peut pas fonctionner sans une dictature quasi absolue et de toute façon à un niveau de développement économique extrêmement bas. Comme celui que tout le monde eut l’occasion de constater après l’effondrement du mur de Berlin et l’échec de la Révolution culturelle chinoise. Mais on se garde bien d’enseigner aux étudiants de manière efficace et pratique l’analyse marxiste dont ils n’ont qu’une vague idée théorique, même les trotskistes, pourtant politiquement et culturellement plus évolués que les socialistes et, surtout, les communistes. Ne les ont-ils pas noyautés, c’est « l’entrisme », depuis des années pour parvenir ainsi au pouvoir malgré leur petit nombre ?
En France on en est au point où « libéralisme » est connoté diabolique, même à l’extrême-droite, et « État » comme la solution à tout, alors que toute l’histoire sociale et économique montre que les pays prospère et heureux comme le Canada, la Suisse, le Luxembourg, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, maintenant l’Angleterre et la Suède, à un moindre degré la Russie toujours politiquement imprégnée de marxisme, sont ceux où l’État en fait le moins possible hors ses fonctions régaliennes, où les impôts sont relativement peu élevés, et où la liberté de parler et d’entreprendre est la plus grande. Cela n’empêche pas des services publics moins coûteux et plus efficaces qu’en France et une médecine souvent de meilleure qualité elle aussi, comme c’est notamment le cas en Australie.
Le pire est que les écoles de journalisme en France formatent leurs étudiants pour en faire des agents de la propagande socialiste entrainés à manipuler l’opinion et que le socialisme étant en perte de vitesse, elles sont passées à la propagande de l’islam.
La suite dans le prochain article, ce n’était là que la première des quatre phases !
L’Imprécateur
http://france.libre1.overblog.com/2015/03/la-rafle-des-catholiques-en-france.html