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    Lettre explicative d'un berbère

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    Message  Admin Sam 13 Oct - 17:55

    30 août 2011 14h40


    Bonjour André,

    Merci pour ton touchant témoignage. Il est bon de lire une telle lucidité.
    Je suis vraiment très sensible à ce que tu décris et ne peux que souscrire pleinement et sans réserve à ton récit. J'y retrouve l'écho puissant de celui de nombreux amis d'origine française, mais aussi mon expérience propre bien que je sois plus jeune. Je suis contrairement au Kabyle d'opérette lobotomisé que tu as subi à Mostaganem, de ceux qui chez moi n'ont jamais plié ni rompu devant l'arabo-islamisme. Nous sommes le dernier rempart à la mort définitive de notre vieux peuple et l'idéologie bédouine imposée aux nôtres par des barbares comme le monde n'en a jamais conçu semblables -bolchevisme et nazisme inclus-.
    Les Kabyles véritables plongent leur racine séculaire et leur mémoire dans les profondeurs du temps et dans une histoire débutée il y a des dizaines de générations, lorsque le monde découvrait tout juste l'écriture. Nous savons qui nous sommes, nous nous souvenons de nos aïeux contemporains de César, nos ancêtres voisins de Pharaon et pour cause, nous fumes César sous les Sévère, Pharaons sous Sheshnaq. Mais aussi Saints de l'Eglise avec Augustin, Cyprien et Monique, Papes avec Gélase, Victor et Melchiade. Nous fumes civilisés jadis, respectés et reconnus de nos pairs Grecs, Latins, Ibères et nous étions race d'Occident. Nous étions autrefois contributeurs de la pensée méditerranéenne et influents, même à travers nos hérétiques Arius et Donat.
    Et puis le ciel nous est tombé sur la tête. Une déferlante doctrinale à laquelle nul ici bas n'était préparé. Pas plus les Byzantins que nous. Elle emporta sur son passage de vieilles et nobles nations : les Phéniciens, les Chaldéens, les Assyriens, les Egyptiens avant nous avaient déjà succombé au mal mahométan, ce vice ultime de l'esprit devant lequel le monde, aujourd'hui encore est bien mal armé. Tout n'y est que rage, haine, destruction et anéantissement au profit de la seule d'un fou du Hedjaz et de ses séides, sa tribu, son clan.
    Voilà donc pourquoi nous agonisons lentement mais sûrement depuis 1400 ans d'une mort insupportable où la mémoire cède en premier et où l'on étouffe sous les ronces de l'arabisme et de l'islam tyrans cruels et sans merci dont tu as pu contempler la face hideuse.
    Je me réjouis ainsi de savoir qu'il y a en France, des témoins directs, qui ont vu la bête dans son antre fétide et sur lesquels l'adhan cacophonique du politiquement correct et la religion du vivre ensemble et du multiculturalisme ne peut prendre. Bien des Français sont venus en Algérie aider ce qu'ils pensaient être une nation à grandir. Ils sont venus ambitieux pour elle, désirant sincèrement y semer la démocratie et la liberté qu'ils pensaient évidentes dès lors qu'on les inculque. Évidents et irréversibles. Mais ils y ont laissé leur naïveté.
    Non, la démocratie, la liberté et les valeurs qui leurs sont corolaires ne peuvent survivre au contact de l'islam. Elles ne sont que des graines prometteuses plantées sur le sol stérile à toute autre choses que lui-même de le mahométisme. L'islam empoisonne toutes les strates de la société où il s'établit. Il est une pollution qui atteint toutes les cellules du corps qu'elle contamine. Rien n'y subsiste, rien n'y porte fruit. Il ronge tout de son acide agressif. Jusqu'à la conscience même qu'il annihile plus qu'aucune autre force de corrosion connue. Les instincts les plus essentiels, comme celui qui pousse la mère à tout affronter pour son enfant y sont ravagés selon le commandement même du coran putride. Il n'est plus opposé à l'humanité qu'il massacre dans le coeur même de la personne pour lui substituer tel un coucou difforme ses propres petits pour qu'il y grandissent nourris par ceux-là même qu'il a réduit à son service aveugle.
    Tu l'as appris sur le terrain, et désormais, tu sais ce qui menace la France, pour ne pas dire l'Europe tout entière. Car l'islam a réussi par la cause de l'immigration, ce qu'il n'a pu faire par les armes : s'installer en terre Croisée (c'est ce qu'il affirme) et y faire prévaloir ses dogmes.

    Et pourquoi y parvient-il? Parce que l'Occident s'est renié. Il a trahit son héritage, abandonné sa culture, rejeté son legs et s'est culturellement suicidé en se jetant dans l'abîme multiculturaliste, antiraciste, droit-de-l'hommiste, touche-pas-à-mon-potiste le tout enrobé dans une repentance collective où se confondent jusqu'à l'absurde
    la honte du passé colonial, la culpabilité des crimes nazis, la gueule de bois du complexe de supériorité, le citoyen-du-mondisme, l'antipatriotisme et l'internationalisme soixantehuitardiste. Tout cela assaisonné de gauchisme bobo. Les délires existentialistes qui ont secoué l'Occident après guerre sont le pourquoi de son abdication lâche, de sa veulerie devant les assauts de l'islam, lequel n'a jamais oublié son projet initial de domination mondiale ni sa rancune irréductible devant les Croisés que sont à ses yeux les Occidentaux, même laïcisés. Il ne pardonne pas à ces mécréants leur triomphe civilisationnel, alors que c'est lui qui devrait trôner dans ce monde à l'exclusion de tout le reste.
    En clair, l'Occident a donné à l'islam le garrot pour l'étrangler, et lui a en plus ajouté le mode d'emploi. C'est pourquoi j'accuse aussi les responsables occidentaux d'avoir vendu leur âme au diable au mépris de leur peuple et de l'avenir de leurs propres enfants. A cela je précise que la fascination de l'islam a commencé en Occident avec la campagne d'Egypte de Napoléon. De là découle l'exotisme orientaliste qui a excité toute l'Europe du XIXe siècle et l'attirance maladive que le monde islamique a provoqué parmi ses élites. Ce mouvement trouve son paroxysme avec le rêve fou d'un Royaume Arabe, pour ce qui concerne la France, créatrice de l'Algérie.
    Souviens-toi que l'Algérie n'existait pas avant 1830. C'est une mystification, un artifice né de la mégalomanie de potentats mal avisés. Avant 1830, il n'y avait ni Algérie, ni Algériens. Il n'y avait que juxtaposition de populations n'ayant pas forcément de relations entre elles et ne se considérant ni comme une, ni comme indivisible. Les Kabyles dans tout ça, qui avaient pourtant réussi à se préserver durant 1300 ans ont été à leur tour touchés par le fléau dont ils se protégeaient dans leurs montagnes inexpugnables. S'ils n'avaient pu échapper tout à fait à l'islam, ils avaient su en réduire la nocivité en l'adaptant, en l'édulcorant et en y greffant leurs coutumes et leur traditions spirituelles de source animistes, et surtout chrétienne. A partir du moment où une puissance supérieure en moyens avait réussi à tenir l'Algérie qu'elle venait de faire sortir ex nihilo, elle y tenait aussi la Kabylie et sa population, l'exposant désormais à la fréquentation évitée durant des générations, à l'arabisme et son islam total. Les Kabyles pris dans les mêmes filets que les Arabes et les Berbères arabisés et islamisés, se sont finalement solidarisés de leurs ennemis d'hier et ce sont eux, je le déplore au plus haut point, qui sont à la source de l'identité algérienne contemporaine. Ce sont eux qui par leur capacités à se hisser vers la modernité, puisque moins perméables à l'arabo-islamisme, qui ont propagé le sentiment d'algérianité, calqué sur l'esprit du Printemps des Peuples des années 1848 en Europe et les nationalismes nés en cette période qui a vu plus tard surgir l'Allemagne et l'Italie. L'élite diasporique Kabyle, nourrie au modèles sociaux français notamment a adapté le syndicalisme appris en France, ainsi que la politique à l'européenne. Mais elle n'a pas su se départir de l'islam qui a tout corrompu et qui
    plaqué sur la propagande socialiste très appréciée à l'époque du Front Populaire en France. En sus de cela, le panarabisme et le nassérisme aidés des luttes anticoloniales dans le monde musulman avec la bénédiction de l'URSS et la boucle était bouclée.

    Après l'indépendance d'une Algérie dont la France a très bien fait de se défaire à temps, la France a sous Pompidou puis Giscard fait venir des barges entières d'Algériens y fournir des bras dociles aux chantiers, avec pour unique objectif de gagner plus d'argent, et en négligeant l'essentiel : la solvabilité de ces gens dans le bain français, et leur taux de fécondité excessivement élevé. Pis, elle a même accordé sans regarder la citoyenneté à des gens dont le modus vivendi était en tout point incompatible avec les us locaux. Bref, la France a elle-même dressé le Cheval de Troie qu'elle a fait entrer chez elle sans plus de précaution, et en censurant violemment ceux qui criaient gare.
    A cause de cela, je me méfie autant de l'arabo-islamisme, que de la politique arabe de la France, tristement connue, et dont les peuples de France comme de Kabylie paient le prix fort aujourd'hui.
    Je suis par conséquent engagé aussi bien pour la résurrection de mon peuple que je m'acharne à éveiller et édifier, que pour la non euthanasie de celui de la France par ses élus dhimmisés que par ses ennemis totaux que sont les mahométans.

    Amitiés

    FK

    PS : pardon pour les coquilles oubliées et pour la longueur de ce texte

    ***************************


    Retrouvé dans mes archives. Michel Poniatowski écrira dans son testament ( date 1991)

    Cette âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluriethnique et pluriculturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…) Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du « cher et vieux pays » dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain. Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression.
    > Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale. Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit.
    Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?
    La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ? En miettes.
    La France est à l’abandon et en décomposition à travers le Monde.
    Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État.
    Michel Poniatowski



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